mardi 12 mai 2015

Le secret de la pierre tombale de Tamerlan

Tamerlan, le plus grand guerrier ouzbek est enterré dans le mausolée Gour-Emir, un des plus beax batiments de Samarcande. Sur son tombeau, vous pouvez voir la plus grande pierre de jade du monde. Il y a beaucoup de légendes et d'histoires sur cette pierre tombale. Selon une des légendes, les Mongols ont pris une plaque de jade d'un palais d'un empereur chinois, et mis comme un trône dans un palais des gouverneurs mongols. Pour les chinois, le jade est une source de force divine. C'est précisément inconnu quand une plaque de jade a été saisie, mais il est connu que seuls les deux gros morceaux d'une plaque sont apparus en 1425 à la suite de la lutte victorieuse dans le règlement Ketmen – Tepe par Oulougbek. Comme ces pierres étaient lourds, un véhicule distinct a été construite pour eux. Les Maîtres de Samarkand ont créé à partir de ces grosses pierres une pierre tombale pour Tamerlan qui peut être vu aujourd'hui dans le mausolée Gour-Emir.

En 1742, le khanat de Boukhara fut conquit par le shah iranien Nadir et il a ordonné de prendre la pierre de la tombe de Tamerlan et de l'envoyer à Meched, en Iran.  Cependant, selon la légende, Nadir Shakh a vu dans ses rêves Medin - Mir Seid Bereke - instructeur spirituel de Timour et Mir Said Baraka lui a ordonné de retourner la pierre à  Samarcande. Shah Nadir a été effrayé et a ordonné de retourner la pierre sur son ancien lieu de Samarkand le matin. Lorsque la néphrite a été transmise à travers du fleuve de l'Amou-Daria, elle est tombée et s'est cassée en deux morceaux, mais néanmoins les pierres ont été retournées à Samarkand, ils ont été connectées et mis sur la tombe de Tamerlan. Il est possible de voir des fissures sur la pierre tombale de jade d’Amir Timur dans le mausolée de Gour Emir.

mercredi 11 février 2015

Le Figaro: L'Ouzbékistan - la caravane des artisans

Jadis étape sur la route de la soie, l'Ouzbékistan regorge de sublimes monuments, mais aussi de trésors vivants. Ses potiers, brodeurs, peintres miniaturistes et tisserands inspirent les créateurs de l'Occident et nous guident dans un Orient chatoyant.
Tachkent, automne 2014. Le vent se lève sur la capitale. Une brise légère enveloppe les larges artères bordées de parcs. Les chaleurs estivales se sont évanouies avec la chute des premières feuilles. Derrière les vitres du taxi Lada, défile le décor sans charme d'une grosse ville postsoviétique d'Asie centrale de 335 km² pour près de 3 millions d'habitants. Victime d'un tremblement de terre dévastateur en 1966, elle fut reconstruite dans un style… cher aux apparatchiks! Malgré quelques belles madrasas, la bibliothèque des corans, la «ville de pierre» n'est réputée ni pour sa beauté ni pour sa «qualité de vie». Riche de nombreux musées (des Beaux-arts, des Arts appliqués, de la Photographie…) et centres culturels, elle constitue pourtant un intéressant préambule pour qui veut découvrir le pays à travers le prisme de l'art et de l'artisanat.

vendredi 23 janvier 2015

Sécurité en Ouzbékistan


L’Ouzbékistan, au couer de la Route de la Soie séduit de plus en plus de touristes chaque année. Le journal Huffington Post a choisi l’Ouzbékistan parmi une des 10 meilleures destinations touristiques dans le monde pour 2015. Samarcande, Boukhara sont les noms qui font rêver et qui font voyager les voyageurs dans le temps. 
La sécurité est la question qu’on nous pose le plus souvent avant de visiter le pays. 
L’Ouzbékistan a fait partie de l’Ex-Union soviétique pendant 70 ans et le pays est mal connu par la plupart des éuropéens. Comme le nom du pays fait référence au noms du Pakistan et de l’Afghhanistan, les européens pensent souvent à l’Afghanistan ou bien au Pakistan quand on leur parle de l’Ouzbékistan. Les occidentaux imaginent l’Ouzbékistan comme un pays musulman ou ils peuvent avoir des problèmes avec les islamistes.
Après la chute de l’Ex-Union Soviétique, le monde a commencé à connaitre ce qui existait derrière le mur de Berlin. L’Asie Centrale était moins connu que les Balkans ou bien le Caucase.
L’Ouzbékistan a obtenu son indépendance le 1 septembre 1991. Dès le début de l’indépendance, le gouvernement ouzbek a fait de sa stabilité et de sa sécurité des priorités principales. 

mercredi 24 décembre 2014

Khiva, la ville aux portes du désert

Khiva fut un centre du commerce d’esclaves, une cité effrayante, au sortir de l‘éprouvante traversée du désert. Aujourd’hui c’est une ville-musée accueillante où les 3.000 habitants de la vieille ville redonnent vie aux traditions.
Aucun autre endroit ne restitue mieux l’atmosphère du désert qu’Itchan Kala, la ville intérieure de Khiva. L’ocre des briques de ses murs d’enceinte domine la vieille ville, située au sud du fleuve Amou Daria. Khiva fut autrefois une oasis, la dernière étape avant le désert pour les caravanes qui se rendaient en Perse.
Nul besoin d’aller bien loin pour voir comment ses habitants entretiennent les vieilles traditions. Même la fabrication du pain a des éléments d’une des plus grandes religions des temps anciens, le Zoroastrisme. “ Les secrets de la fabrication du pain se transmettent de génération en génération. Nous l’enseignons à nos filles parce que c’est notre tradition nationale. Ma mère m’a appris comment faire et ma grand-mère l’a appris à ma mère, “ explique Zaynab Abdullaeva, qui réside à Itchan Kala.

A Khiva, on cuit le pain en plein air dans des fours aux parois d’argile. On en trouve plusieurs sur l’une des principales places de la ville intérieure. “ Le pain, c’est tout pour les Ouzbèkes. Dans l’Avesta, le livre du Zoroastrisme, il est dit que le pain est sacré et qu’il peut vous rendre fort et sain. Dans notre tradition, il a longtemps été l’aliment principal, “ assure Kamiljan Khudayberganov, historien. Des spirales imprimées dans la pâte constituent le lien entre le pain et le Zoroastrisme. “ Les dessins que vous voyez sur le pain symbolisent le soleil, objet de culte dans le Zoroastrisme. C‘était un symbole de paix, de bonne volonté et de bonheur, et on le retrouve sur les bâtiments religieux, “ précise Kamiljan Khudayberganov.

mercredi 17 décembre 2014

Circuit: Ouzbékistan authentique




Ouzbékistan Authentique

Envie d’une destination originale pour vos vacances ? L’Ouzbékistan, territoire d’Asie centrale, fascine ses visiteurs par la beauté de ses villes et par sa culture marquée par des siècles d’histoire.  Les grandes étapes de la route de la Soie: Tachkent, Boukhara, Samarkand ... avec leurs mosquées aux dômes et aux minarets ornés de mosaïques turquoises, leurs palais des Mille et Une Nuits, leurs citadelles et leurs médersas à l'architecture raffinée. Ces trois étapes mythiques sur la route de la Soie sont réputées pour être les plus belles villes d'Asie centrale. Moins connue, la ville-musée de Khiva constitue un autre fascinant oasis dans ce pays de montagnes et de steppes désertiques. Nous vous proposons une découverte passionnante de l’Ouzbékistan, pays possédant l’un des plus riches patrimoines en Asie.

vendredi 12 décembre 2014

Boukhara, escale incontournable sur la Route de la soie (euronews)

Monica Pinna, euronews : “La Route de la soie était un carrefour de philosophies, de traditions, de religions, et par-dessus tout de marchandises. Sur cette route, Boukhara fut l’une des villes caravanières les plus riches. Elle a compté jusqu‘à 50 bazars et 75 caravansérails.
Boukhara s’est développée autour du commerce. Les quatre bazars qui subsistent donnent une idée de la façon dont le négoce a influencé le développement urbain au temps de la Route de la soie. Le centre-ville ressemblait à un hypermarché médiéval.
“La ville avait onze portes qui conduisaient au centre, explique l’architecte Klitshev Zoircho. Aux carrefours avaient été construits des passages commerciaux, qu’on appelle des Toks. Les routes entre ces Toks étaient recouvertes par des auvents pour faciliter les affaires.’‘
Les ruelles ombragées serpentaient à travers les étals, les caravansérails et les bazars pour former l’un des centres de commerce les plus colorés et les plus cosmopolites du monde islamique.

lundi 1 décembre 2014

Les merveilles de la Route de la Soie: De la mer d'Aral à la vallée de Ferghana


Envie d’une destination originale pour vos vacances? L’Ouzbékistan, territoire d’Asie centrale, fascine ses visiteurs par la beauté de ses villes et par sa culture marquée par des siècles d’histoire. Les grandes étapes de la route de la Soie: Taschkent, Boukhara, Samarkand... avec leurs mosquées aux dômes et aux minarets ornés de mosaïques turquoises, leurs palais des Mille et Une Nuits, leurs citadelles et leurs médersas à l'architecture raffinée. Ces trois étapes mythiques sur la route de la Soie sont réputées pour être les plus belles villes d'Asie centrale. Moins connue, la ville-musée de Khiva constitue un autre fascinant oasis dans ce pays de montagnes et de steppes désertiques. C'est le seul, avec le Lichtenstein, à être doublement enclavé (ce qui signifie qu'il faut traverser deux pays avant d'atteindre une mer qui débouche sur l'océan, la mer d'Aral qui baigne le nord du pays étant une mer intérieure). Une partie du pays est également tapissée par deux grands déserts d'Asie centrale: le Karakoum, au sud-ouest, et surtout, le Kyzil-Koum, à l'ouest, réputé pour ses dunes de sable rouge. Nous vous proposons une découverte passionnante de l’Ouzbékistan, pays possédant l’un des plus riches patrimoines en Asie.

Les étapes de votre circuit en groupe: Tachkent-Noukous- Khiva –Boukhara –Nourata – Lac Aidarkoul (Camp des Yourtes) - Sentob – Samarcande-Chakhrissabz-Samarcande-Tachkent-Kokand-Ferghana-Marghilan-Richtan-Tachkent
Durée: 18 jours
Départ possible chaque mardi et vendredi en fonction des vols Paris – Tachkent de la compagnie Uzbekistan Airways. Le programme peut être adapté aux vols