Jadis étape sur la route de la soie, l'Ouzbékistan regorge de sublimes monuments, mais aussi de trésors vivants. Ses potiers, brodeurs, peintres miniaturistes et tisserands inspirent les créateurs de l'Occident et nous guident dans un Orient chatoyant.
Tachkent, automne 2014. Le vent se lève sur la capitale. Une brise légère enveloppe les larges artères bordées de parcs. Les chaleurs estivales se sont évanouies avec la chute des premières feuilles. Derrière les vitres du taxi Lada, défile le décor sans charme d'une grosse ville postsoviétique d'Asie centrale de 335 km² pour près de 3 millions d'habitants. Victime d'un tremblement de terre dévastateur en 1966, elle fut reconstruite dans un style… cher aux apparatchiks! Malgré quelques belles madrasas, la bibliothèque des corans, la «ville de pierre» n'est réputée ni pour sa beauté ni pour sa «qualité de vie». Riche de nombreux musées (des Beaux-arts, des Arts appliqués, de la Photographie…) et centres culturels, elle constitue pourtant un intéressant préambule pour qui veut découvrir le pays à travers le prisme de l'art et de l'artisanat.
Tachkent, automne 2014. Le vent se lève sur la capitale. Une brise légère enveloppe les larges artères bordées de parcs. Les chaleurs estivales se sont évanouies avec la chute des premières feuilles. Derrière les vitres du taxi Lada, défile le décor sans charme d'une grosse ville postsoviétique d'Asie centrale de 335 km² pour près de 3 millions d'habitants. Victime d'un tremblement de terre dévastateur en 1966, elle fut reconstruite dans un style… cher aux apparatchiks! Malgré quelques belles madrasas, la bibliothèque des corans, la «ville de pierre» n'est réputée ni pour sa beauté ni pour sa «qualité de vie». Riche de nombreux musées (des Beaux-arts, des Arts appliqués, de la Photographie…) et centres culturels, elle constitue pourtant un intéressant préambule pour qui veut découvrir le pays à travers le prisme de l'art et de l'artisanat.